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La beauté rend fou,
qu' elle soit douce ou violente, elle rend fou car elle est trop forte elle éclate et brûle.
C' est la beauté des rêves, la douceur du songe qui paradoxalement écorche la réalité ici bas reine. Entre eau et perle d' étoiles, j' entre chaque fois avec respect et une idée du sacré pour un instant d' éternité les couleurs se font guides et les notes se dessinnent quand les ombres devinne que l' être n' est plus. Il vit, voyage A travers le néant matériel il atteint l' étendue des courants d' air, le bleu profond et grave apaisé par son pendant pastel. Ôde glorifiant le Soleil, l' âstre Roi le rouge et le rose se déchirent l' obscurité dense rappelle à la terre mère pleine de mystère et de joie mais façonnée de peines, parfois trop étroite pour l' évasion. Le noir, l' absence de couleurs encore, un jour je me laisserais haper par le rêve je ne vivrais que dans cette éternité de conte le coeur d' une princesse croise l' âme d' un chevalier Comment leur expliquer le règne des fleurs si absurde soit elle, si la folie est un mal, elle transcende de loin un pâle quotidien sans force la passion est rude, détruit mais, elle est mère d' ... absolu.
Stéphanie VARELA.
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La Mosaïque
Stéphanie Varela : Le conte des couleurs
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